La Makanerie est une marque de foulards et étoles basée sur les récits de femmes en Méditerranée, la transmission et l’héritage culturel.
La particularité de La Makanerie ? Des valeurs familiales, une histoire méditerranéenne et un héritage féminin défendu par les deux sœurs et fondatrices, Rachel et Théa. Marquées par un imaginaire méditerranéen très fort depuis l’enfance, nourries par les influences siciliennes et pied-noir de leur famille, elles grandissent dans le Sud de la France.
En travaillant à partir de soie et de laine éco-responsables certifiées 100% GOTS, la marque s’engage en faveur d’une création tournée vers l’avenir et à l’image de celles qui l’inspirent : authentique, audacieuse, libre. Les pièces sont créées en petite quantité et en éditions limitées, à raison de deux collections par an.
Un savoir-faire traditionnel et engagé
Véritable emblème du chic à la française, le carré de soie est l’accessoire indispensable pour affirmer sa personnalité et ses valeurs dans un quotidien urbain et ultra-connecté. “Chaque pièce est un manifeste, une revendication de liberté, le symbole du regard que les femmes posent sur elles-mêmes”, expliquent les fondatrices qui défendent l’idée d’une identité méditerranéenne commune.
Un savoir-faire de qualité associé à tous les attributs du luxe : ourlets roulottés main, matière première d’excellente qualité, motifs dessinés par des créateurs issus des plus grandes maisons.
La marque mise sur des valeurs authentiques, libres et minimalistes. Leurs pièces sont créées exclusivement à partir de laine et soie italiennes. Les matières sont certifiées Global Organic Textile Standard. La fabrication se fait dans un atelier partenaire situé en Italie dans la région de Côme, réputée leader de l’industrie de la soie en Europe.
“Oran, la boutique”, une collection-mémoire
À l’occasion de sa nouvelle collection “Oran, la boutique”, la jeune marque fait le choix de reconstruire, de ré-inventer, d’écrire de nouveaux mots sur une histoire commune qui lui est chère.
Puisant dans leur histoire familiale, les deux sœurs font de cette nouvelle collection un véritable hommage, un chant d’amour aux femmes qui ont marqué leur vie.
Elles partent sur les traces de leur grand-mère Clémente et de ses sœurs, toutes trois brodeuses et couturières à Oran et rentrées en France à la suite de l’indépendance de l’Algérie. Qui sont celles qui partagent cette mémoire, mais de l’autre côté de la Méditerranée ?
Entre exil et quête d’identité, les deux sœurs interrogent leur héritage et écrivent une page de leur récit sur la plus noble des matières.
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