La FIAC est heureuse d’annoncer le lancement de la première édition de FIAC Online Viewing Rooms. Créée en collaboration avec Artlogic, leader dans la technologie digitale au service du monde de l’art, cette nouvelle plateforme en ligne accueillera plus de 200 galeries, émergentes et établies, d’art contemporain, d’art moderne et de design. Découvrez quelques œuvres !
Avec le peintre Blaise Drummond, tout commence par des photographies. Pour cette peinture, qui prolonge le corpus présenté dans l’exposition « A History of Hope » à la galerie Loevenbruck en 2018, ce sont les archives photographiques du Black Mountain College qui ont, cette fois, retenu son attention. Drummond a pour habitude de chercher les sujets de ses peintures dans l’histoire du modernisme historique, dont il transfère certaines des icônes dans un nouveau contexte : une nature harmonieuse et paisible.
Artiste anglais, né à Liverpool en 1967, Blaise Drummond, qui vit et travaille à County Longford (Irlande), est représenté par la galerie Loevenbruck depuis 2002. Ses oeuvres ont notamment été exposées à la Fondation Le Corbusier, au Centre Culturel Irlandais ou au Musée Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon.
L’œuvre de Bruno Peinado est emblématique de ce début de siècle. Sensible aux multiplicités du monde, l’artiste manie des modes de montage par hybridation et frottement de référents et de mediums, provoquant ainsi des jonctions poétiques et politiques ouvertes aux interprétations. Briller et disparaitre, le spectacle d’un feu est une installation in situ issue d’un cycle de recherches picturales entamé en 2016 au Musée régional d’art contemporain Occitanie / Pyrénées-Méditerranée de Sérignan par son projet chorale « Il faut reconstruire l’Hacienda ».
Philippe Mayaux (France, 1961) se décrit comme un « hyper-surréaliste de la quatrième génération» . Il développe une œuvre singulière et inclassable, aux références historiques et contemporaines très variées (du Surréalisme à Dada, en passant par le Pop ou le Psychédélisme). «Dans ce tableau, je rends hommage au paysage de la Joconde, cette nature allégorique et fantastique qui encadre le portrait de Mona Lisa. Générant un chaos pictural fait de taches et d’empreintes hasardeuses, je recherche d’abord le temps oublié du désordre spontané des origines puis je réinvente les formes nées de cette confusion, pour nous donner à voir un monde comme abandonné par l’humanité, vierge de sa présence (…) » – Philippe Mayaux
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