« Moi, j’aime l’amour, et c’est tout », mantra du nouvel album d’Emma Solal, annonce la couleur. L’album (sortie le 28 septembre) « L’amour, et c’est tout », qui fait suite à « Robes du soir » sorti en 2012 et à « Messages Personnels » (relecture jazzy du répertoire de Françoise Hardy) sorti en 2016, annonce un tournant dans la discographie d’Emma.
Finies les peines de cœur jazzy, place à l’amour pop, aux sentiments électro et aux voyages italo disco. Emma Solal est un caméléon pop, option jeune femme pas toujours rangée. Une allure de ne pas y toucher héritée de son passé d’économiste, mais un sourire franc d’égérie latine, héritière d’une Italie qui aurait toujours la vie douce. Au-delà des chiffres, les lettres et les mots, ceux des songwriters qu’elle a inspirés et qui ont créé pour elle l’écrin pop atmosphérique de son nouvel album. On imagine Françoise Hardy chez Cassius, Lio chez Daft Punk, ou encore Barbara chez Moroder. Nouvelle Emma, nouvel émoi.
Le premier extrait, “Baisers illicites”, offre un premier aperçu de l’album produit par Aube et Nicolas Vidal. Réalisé par Christophe Léopold-Laffont, le clip nous plonge dans une atmosphère entre Lynch et Almodovar, où les pulsions érotiques se mélangent à la pop atmosphérique. Clip à voir ci-dessous !
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