Forme d’expression plus puissante pour lui que la parole, la photographie offre à Louis-Florent Dyèvre l’opportunité d’extérioriser ses angoisses, mais aussi l’espoir, qu’il ne sait verbaliser. La chance d’une mise à nu.
Les apparences peuvent être trompeuses. Les souffrances du passé si dures à porter. Combien d’entre nous traversent la vie en dissimulant leurs blessures, par crainte du jugement, du regard de l’autre ? Pourtant, derrière les sourires de façade, les traumatismes accomplissent leur œuvre destructrice.
Par cette exposition, il choisit de lever un coin du voile sur son « Moi » profond. Ce projet artistique, qui allie immersion visuelle et auditive, est ainsi une invitation au voyage dans son univers en noir et blanc, où l’espoir succède à la souffrance. Et inversement.
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